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fglrx et compiz ecran blanc

Alors que j’installe une Fedora 9 sur mon poste qui a une ATI (chose nouvelle pour moi), je me suis tenté à utiliser les modules “radeonhd” et “fglrx’, ce dernier étant la version propriétaire qu’on me conseille d’utiliser. Bref, je veux installer compiz mais au démarrage des effets je me retrouve avec un écran blanc.

Les apports de Compiz

Hier soir, je discutais avec un collègue qui vient de passer à Linux et qui découvre Compiz. L’occasion pour moi de me rendre compte de l’utilité réelle de cette couche qui rend votre bureau tout animé. Certes, j’entends souvent des vieux de la vieilles qui me disent “c’est un gadget, ça sert juste de déco”, d’autres me disent “c’est surtout markéting, ça rend Linux moins austère”… pourtant, pour ma part, si je coupe compiz je trouve qu’il manque quelque chose.

Ce billet est ouvert à discussion, j’aimerai avoir des commentaires (et en plus je verrai si j’ai des lecteurs assidus  ). Je vais vous énumérez mes plugins Compiz et vous donner les raisons du “pourquoi je ne peux plus m’en passer”. J’estime que Compiz est bien plus qu’un gadget, c’est quasiment indispensable quand on a pris l’habitude.

Tout d’abord, le plugin si “commun” à Compiz “Woobly”, ou “déformation des fenêtres”. Certainement le moins utile, mais il rend agréable (visuellement) les déplacements de fenêtres. Quand je retourne sur Mac ou Windows, je trouve le système rigide.

Le plugin Zoom (Super+Molette) me permet de zoomer sur l’écran. Ça peut paraitre gadget, mais je m’en sers très très souvent. J’aime bien étendre mes jambes et me reculer de l’écran. A 1m70 de l’écran, impossible de lire correctement une page Web, Pidgin, Skype… alors je zoome. Autre utilité, lors d’un screencast, je peux rendre la vidéo plus facile à suivre. D’ailleurs, j’utilise le plugin “annotate” pour dessiner sur mes fenêtres le temps de la capture.

Le plugin “Scale” ou “Echelle”, proche de ce que propose MacOS X, un coup de souris en haut à droite de l’écran pour voir toutes les fenêtre du bureau en un coup d’œil. Et si, encore une fois, je suis loin de l’écran, un clique droit durant l’effet sur la fenêtre me permet de zoomer et voir ce que contient la fenêtre. J’ai aussi la possibilité de mettre toutes les fenêtres de tous les bureaux dans la vue en plaçant mon pointeur de souris en bas à gauche de mon écran.

Un raccourcis utile est ALT+Molette, me permettant de rendre une fenêtre semi-transparente. Quand je rédige une doc, je peux lire mes notes pendant que je tape sur OpenOffice.

Voilà pour ma liste. Personnellement Copiz m’a apporté une vraie ergonomie que je n’ai trouvé nul part ailleurs. Même MacOS X ne m’a pas donné un tel résultat. Je passe sur le cube qui ne donne qu’une meilleure illustration de ce que représente un bureau virtuel. Le reste me permet surtout de bosser avec plus de confort. Mes préférences allant vers “Zoom” et “Scale”.

Inutile de surcharger Compiz de tous les plugins, selon moi, mais de faire le choix  dans la liste et de ne prendre que ceux qui vous rend vraiment service.

Et vous, vous utilisez quoi ?

Screenlets pour Fedora 8 patch

Après avoir créé le paquet pour screenlets sous fedora 8, je me suis rendu compte d’une erreur dans le source de screenlets. Apparament, l’autostart de widget pouvait ne pas fonctionner pour certains cas. Le soucis étant que le répertoire $HOME/.config/autostart n’est pas créé pour certaines personnes.

Screenlets pour Fedora 8

Et voilà, je suis passé en Fedora 8 version x86_64. Installée sans encombre, j’ai été épaté par la qualité de cette distribution. Sauf que je ne trouvais pas le paquet “Screenlets” fort appréciable avec compiz-fusion si vous utilisez un “widget layer”. Bref, le paquet est là: http://www.metal3d.org/rpms/screenlets-0.0.10-1.fc8.noarch.rpm et devrait fonctionner sans soucis chez vous.

MacOSX vs Linux

J’ai la chance d’avoir un mac au travail pour tester nos développements. Après avoir vu tourner Mac OSX chez un ami, et trouvant le design et la vitesse de ses animations assez cool, je me suis réjouis de pouvoir analyser de plus près la bête.